Jouissance du corps

La jouissance vient du corps. Elle se manifeste via le symbolique pour offrir au sujet un accès au corps et ouvrir des passages vers le sens détenu par le corps : « j’ouïs sens », c’est-à-dire « je perçois des fragments de sens provenant du corps ».
La souffrance et la maladie constituent le versant symétrique de la jouissance.

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Image du corps

Les mécanismes de la perception permettent au sujet d’appréhender son corps (ou celui d’un autre) comme une image ayant la consistance d’une représentation immédiate.
Le moi est un représentant fournissant une représentation à partir de l’image perceptive du corps.
Nous appelons notre semblable, dont la représentation est fournie via l’image de l’autre, par le terme de petit autre.

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Le signifiant est un représentant de la représentation

Un représentant appartient à la structure du langage : il est un signifiant classifiable et dénombrable. Il fournit une représentation plus ou moins durable, mais aussi plus complexe et plus élaborée que la représentation immédiate dans le miroir.
Entre le sujet barré et le réel de son corps, il y a toujours le signifiant en tant que représentant. Par conséquent, l’accès au corps passe par la logique du langage. Le signifiant fournit au sujet une représentation du corps.

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Le corps structuré représente le corps réel

Le corps est la « part animale » du sujet, sa part réelle dotée de la perception.
De même que l’exprime aussi le cogito, le corps structuré constitue, pour le sujet pensant qui ex-siste, « la conscience du fait qu’il est un corps » à la différence de l’animal qui « ne se sait pas comme corps ».

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